Ce qui est ironique, c’est que le projet de former un grand rassemblement républicain contre « les extrêmes » , on peut aussi le voir comme un parti unique, le seul présenté comme républicain, légitime et apte à gouverner. Bref une sorte de dictature centriste ! Parlez-moi d’extrême après ça…
Ils comptaient initialement s’allier aux LR et espérer que Glucksmann cède pour reprendre l’aile gauche du macronisme.
Je ne sais pas quel cabinet a parié ce scénar mais ils doivent s’en mordre les doigts, Macron a rien compris derrière (son deuxième mandat est tourné vers l’international, sa négligence des affaires intérieures l’a perdu) et Attal est sous-dimensionné pour assurer le SAV, là où Borne ou Philippe était en capacité. L’échec comme fuite en avant et le raidissement autoritaire de l’exécutif aura servi à rien. Même Attal hier au débat ne pouvait que cautionner les observations de Bompard, y’avait un côté tragique à ce niveau.
Ce qui est ironique, c’est que le projet de former un grand rassemblement républicain contre « les extrêmes » , on peut aussi le voir comme un parti unique, le seul présenté comme républicain, légitime et apte à gouverner. Bref une sorte de dictature centriste ! Parlez-moi d’extrême après ça…
Ils comptaient initialement s’allier aux LR et espérer que Glucksmann cède pour reprendre l’aile gauche du macronisme.
Je ne sais pas quel cabinet a parié ce scénar mais ils doivent s’en mordre les doigts, Macron a rien compris derrière (son deuxième mandat est tourné vers l’international, sa négligence des affaires intérieures l’a perdu) et Attal est sous-dimensionné pour assurer le SAV, là où Borne ou Philippe était en capacité. L’échec comme fuite en avant et le raidissement autoritaire de l’exécutif aura servi à rien. Même Attal hier au débat ne pouvait que cautionner les observations de Bompard, y’avait un côté tragique à ce niveau.